Le Territoire de Millas a été habitée dés l'époque Néolithique
Le Village originel date du premier âge de fer comme en témoignent les traces archéologiques d’un cimetière de la civilisation des champs d’urnes, découvertes il y a une cinquantaine d’année.
Située à 97m au dessus du niveau de la mer, Millas compte aujourd’hui 4312 habitants et la Commune s’étends sur 1912 hectares, en plein centre de la pleine du Roussillon (66, Pyrénées-Orientales).
L'histoire du terme de Millas
La signification du nom de “Millas” aurait deux explication possibles :
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- D’une Part, ses racines pourraient provenir de l’existence d’une borne militaire au bord d’une voie Romaine (Milar en Catalan).
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- Une autre théorie rattache son origine à la grande quantité de mil (“mil” en catalan) produite au moyen-âge par les Villageois.
Cette deuxième interprétation est, sans doute, la plus plausible si l’on croit le blason de la ville qui représente une plante semblable à un épi de millet.
Le nom “Millares” apparait pour la première fois en 898, dans un texte mentionnant une prise d’eau d’un canal. Daté de 953, un autre document laisse paraitre le nom latinisé de “Miliaso”.
Evolution de la ville au fil des siècles
Regroupée autour de l’église, du château et du grenier collectif “la Cellera”, les première maisons furent édifiées il y a plus de mille ans, sur une battue constituant, de nos jours, l’hyper-centre de la Ville.
Au XIIème siècle, grâce à la construction d’un canal d’irrigation « le canal de Millas », le dynamisme économique de la ville pousse l’urbanisation hors des premiers remparts.
Au XVème siècle, une nouvelle enceinte « La Muralla » sera construite pour protéger les nouveaux quartiers.
La reprise démographique du XVIème siècle créera, à son tour, un quadrillage de rues et de ruelles distribuant, en damiers, les constructions de cette époque.
A la fin du XVIIIème siècle et au début du XIXème siècle, le cimetière est déplacé du pied du clocher vers son emplacement actuel ; une promenade est aménagée en bordure de l’ancienne enceinte médiévale ; des fontaines, des pompes et des lavoirs publics sont mis à la disposition de la population.
Depuis la 2ème moitié du XXème siècle, Millas ne cesse de s’agrandir sur un vaste espace pavillonnaire.
Riche de son histoire plus que millénaire, située à 10 minutes de Perpignan et bien assise sur la rive droite de la Têt qui rend son terroir très productif (fruits primeurs, huile d’olive et vin en sont les principaux produits) Millas est maintenant une fort belle petite ville moderne, très dynamique et très agréable à vivre.
millas 1000 ans D'histoire...
L’histoire d’une ville se lit à travers l’organisation de ses rues et de ses places, comme à travers l’observations des matériaux de construction des façade de ses maison.
Sur une butte centrale apparurent les première constructions de la future ville , il y a 1000 ans. Le groupe monumentale de l’église, du château et de la Céléra (grenier collectif) en sont les témoins. Chacun de ces édifices possède ces propres défenses. L’ensemble est en son tour fortifié de rempart et renforcé de tours.
En utilisant un ravin comme parcours pour un ruisseau d’irrigation des le 12ème siècles, le dynamisme du village s’oriente hors de la 1ére enceinte vers les berges du “canal”. Ce quartier sera à son tour enclos de murailles au 15éme siècles. La reprise démographique du 16éme siècle créera à on tour un “P.O.S” (Plan d’Occupation des Sol). Un quadrillage des rue et des ruelles distribue en damier les construction de cette période dans toute le zone OUEST/NORD-OUEST de la 2éme enceinte.
Les idées du siècles ds lumières prirent le corps avec la municipalité impériale. Dés 1802-1805, le cimetière est déplacé au pied du clocher à son emplacement actuel. Une promenade de platanes est plantée en bordure Est de l’enceint. Un Plan d’urbanisme vise l’élargissement des rues, la suppression des porches et des auvents pour une meilleur aération de la ville. Des fontaines, des pompes lavoir publics sont mis à disposition de la populations.
Depuis, Millas s’est élargi sur un vaste espace pavillonnaire, entre autre, aprés des fouille de sauvetage sur l’emplacement du champ d’urnes funéraire du branonze final.